Un dernier volume encore plus explosif que les précédents. Nelly Kaprièlian, Les Inrockuptibles .
Le constat est d’une âpreté inouïe, dans laquelle pourtant ne se dissout pas l’humanisme tenace et rageur qu’on sent pulser dans chaque page, chaque phrase. Nathalie Crom, Télérama .
La manière qu’a Despentes de dépeindre ses personnages et de les ancrer dans le réel captive. Emma Dubois, Les Échos .
Trois tomes addictifs et intelligents. Drôlerie, sens de la formule et collision des niveaux de langage se mêlent pour rendre Vernon irrésistible. Raphaëlle Leyris, Le Monde des livres .
L’une des fresques les plus marquantes de ce début de XXI e siècle. Marianne Pavot, L’Express .