14 Août 2017
Fasciné depuis toujours par l'écrivain-voyageur Victor Segalen, Breton et Brestois comme lui, Jean-Luc Coatalem entreprend de marcher dans les pas de ce "compagnon secret" dans Mes pas vont ailleurs (Stock).
En Mai 1919, l'écrivain-voyageur Victor Segalen, revenu il y a peu de son dernier voyage en Chine, trouve refuge au grand Hôtel d'Angleterre près de la mystérieuse forêt du Huelgoat sur ses terres bretonnes. Un matin, il quitte les lieux pour ne jamais y revenir. On le retrouvera deux jours plus tard sans vie, sur un tumulus, une blessure sanguinolente à la jambe, un Shakespeare à la main, et avec des notes mystérieuses écrites peu de temps avant d'expirer. Suicide ? Accident ? C'est en partant de cette mort étrange que Jean-Luc Coatalem remonte le fil de cette vie faite d'écriture et de voyages.
N.S