1904. Sentiments exacerbés, folie, destruction. Une femme à la vie paisible avec un mari et des enfants. Une petite pension bourgeoise du sud de la France. Un scandale éclate : elle décide de tout plaquer et de s’abandonner avec un homme plus jeune rencontré la veille. Très vite, l’indignation remplace l’incompréhension. Seul le narrateur s’attache à comprendre et défendre ces déraisonnements. C’est à travers l’admirable confession d’une femme, d’une sincérité bouleversante que Zweig frappe une nouvelle fois par son génie.