A chaque rentrée littéraire il y a des romans dont tout le monde parle et dont tout le monde a entendu parler. Ceux sur lesquels la presse ne tarit pas d’éloges du Monde à Grazia en passant par Les Inrocks. Ceux que les jurés des prix ont retenus. Ceux qui assoient le talent d’un auteur et le font connaître au grand public... Luc Lang occupe assurément cette place cette année avec Au commencement du septième jour paru chez Stock à la fin de l’été.
Un roman à hauteur d’homme qui embrasse le monde et ses déréglements
Pourquoi ? Parcequ’il s’agit d’un roman total qui, à hauteur d’homme, embrasse le monde et ses déréglements. Une prouesse donc ! Mais place à une revue de presse qui en dira plus long...
"Luc Lang écrit à l’extrême des perceptions, des sensations. Ainsi, son roman, par sa saisie immédiate de l’instant, de la beauté des choses, de l’écoulement du temps, devient une forme d’intelligence du monde. (…) Luc Lang peut chômer, comme Dieu. Au commencement du septième jour est très bon.", Fabienne Pascaud, Telerama
"(…) l’écrivain excelle à rendre compte de la cartographie des sentiments et de la profondeur de nos paysages intérieurs, en même temps que ce qui constitue le tracé d’une vie." Avril Ventura, ELLE
"La force de luc Lang c’est de parvenir à faire tenir tout ensemble, à créer un dispositif narratif qui nous transporte des Pyrénées au Cameroun, d’un open space à un marché de Douala. (…) Lang passe tout au crible du regard et des sensations de Thomas et offre au lecteur d’éprouver ce qu’il vit.", Sylvie Tanette, Les Inrocks
"Au-delà de la justesse psychologique, cette réussite tient également à la puissance du style, nerveux, maniant admirablement la ponctuation et qui sait capter les sensations au moment adéquat.", B.L, Lire
"C’est l’histoire d’un homme qui tombe, c’est l’histoire d’un romancier qui respire. (…) Une ambition littéraire hors norme." L’Express
"(…) il se pourrait bien que Luc Lang ait écrit son meilleur roman." Vogue
"(…) l’auteur retranscrit la tension de notre monde moderne et l’insoutenable constat que notre époque a décidément perdu tous ses repères." Léonard Desbrières, Technikart
"Quand un auteur atteint la puissance de récréation de la vie que Luc Lang déploie à chaque page de son onzième roman, avec une sorte de grâce qui touche parfois un écrivain, soudain projeté au plus haut degré d’intensité de son œuvre, tout semble repartir de zéro, comme si l’abondance même du texte n’avait rien d’autre finalité que de faire entendre ce silence des origines. (...) C’était la sécurité, le confort, le bonheur qui étaient un accident. Il est prêt, disponible pour la réalité du monde. Voilà une initiation réussie. Et voilà à quelle grandeur Luc Lang a mené ce roman limpide et énigmatique, d’un réalisme inflexible jusque dans sa capacité à transformer le destin d’un informaticien en mythe. (...) Au septième jour, ayant compris que le monde était une terre dangereuse, l’homme sut qu’il serait à jamais un enfant effrayé dans la nuit. Et il prit la parole." Florent Georgesco, Le Monde
Pour en savoir plus sur le livre de Luc Lang, regardez notre vidéo de présentation par l’auteur.
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N.S