Après avoir établi en un triptyque une chronique des trentenaires citadins et pressés du XXIe siècle (La Cour des grandes, Les Jeux de garçons, Les Devoirs de vacances), l’auteure et journaliste Adèle Bréau semble avoir pris goût à nous emmener du côté de leurs souvenirs qui sont aussi les siens et pourquoi pas les nôtres.
L’Odeur de la colle en pot : un parfum de nostalgie en poche le 1er avril
Son dernier roman ayant connu un beau succès, L’odeur de la colle en pot (JC Lattès) à paraître le 1er avril au Livre de Poche, nous faisait respirer le parfum nostalgique des années 1990, des cabines téléphoniques, des blousons en jean et des premiers flirts. Entre légèreté et mélancolie, elle y décryptait ce moment de bascule entre l’enfance et l’âge adulte et les bouleversements d’une famille.
Frangines : que reste-t-il de la fusion de l’enfance à l’âge adulte ?
C’est dans un tout autre décor mais toujours sur la crête de l’enfance et en tirant ces ficelles des liens familiaux qu’elle nous emmènera bientôt dans Frangines, son nouveau roman à paraître le 1er avril chez JC Lattès. Nous y suivrons trois sœurs, Mathilde, Violette et Louise, au cœur de La Garrigue, leur maison de famille provençale où elles coulent des jours heureux. Mais que devient la fusion des jeunes années à l’âge adulte ? Reste-t-on à jamais marqué par le rôle que notre place dans la fratrie nous a assigné ? Entre les drames et les secrets de familles, les exaspérations, les grands chamboulements et les secrets enfouis, les trois frangines vont vivre le temps d’un été des retrouvailles aux allures de thérapie familiale. Encore une fois, Adèle Bréau croque avec beaucoup de sensibilité les petits travers de sa génération.
Ancienne rédactrice en chef de Elle.fr, Adèle Bréau a publié en 2015 son premier roman dont les droits ont été vendus à la télévision. Frangines est son cinquième livre.
La rédaction
